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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 19:41

Il n'y a pas si longtemps, le président et sa majorité juraient la main sur le coeur de leur volonté de revaloriser le rôle du Parlement.

Or sur deux textes majeurs, réforme des retraites et loi sur l'immigration, l'intégration et la nationalité, la droite entend passer en force : déclaration d'urgence et passage en commission au pas de course.

Ainsi, le 7 septembre, la commission des affaires sociales prendra moins de 45 minutes pour examiner les nouveaux amendements au texte sur les retraites venant en discussion l'heure suivante.

Le 14 septembre, le texte sur les retraites sera débattu en séance. En même temps, la commission disposera d'une heure en tout et pour tout pour donner un avis sur le projet de loi sur l'immigration. Le tout sans même avoir eu de présentation du texte par le ministre ! Pourtant, ce texte ne prévoit pas moins que d'élargir les conditions de retrait de la nationalité et la fin de l'accès automatique à la nationalité française à 18 ans pour les jeunes nés de parents étrangers.

Il est vrai que ces deux textes rencontrent une opposition déterminée dans le pays. Est-ce une raison pour bafouer ainsi les institutions ? Un tel mépris pour les élus de la nation exprime un mépris équivalent pour les citoyens.

S'ils ne veulent plus écouter les parlementaires, imposons leur la voix du peuple !Parti de gauche 1 Mai 2010 Rouen

 

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 22:05
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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 17:54

 

Appel Citoyen; bando-perso

Signez l’appel en ligne ! http://nonalapolitiquedupilori.org/

Les plus hautes autorités de l’Etat ont fait le choix de jeter à la vindicte publique des catégories entières de population : Gens du voyage accusés comme les étrangers d’être des fauteurs de troubles, Français d’origine étrangère sur lesquels pèserait la menace d’être déchus de leur nationalité, parents d’enfants délinquants, etc. Voici que le président de la République accrédite aussi les vieux mensonges d’une immigration coûteuse et assimilée à la délinquance, et offre ainsi à la stigmatisation des millions de personnes en raison de leur origine ou de leur situation sociale.

 Ce qui est à l’œuvre dans cette démarche ne s’inscrit pas dans le débat légitime, dans une démocratie, sur la manière d’assurer la sûreté républicaine. Le nécessaire respect de l’ordre public n’a pas à être utilisé pour créer des distinctions entre les habitants de ce pays et désigner des boucs émissaires. Ni pour instituer des peines de prison automatiques, contraires aux principes fondamentaux du droit pénal, à l’indépendance de la justice et à l’individualisation des peines.

La Constitution de la France, République laïque, démocratique et sociale, assure « l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion ». Nul, pas plus les élus de la nation que quiconque, n’a le droit de fouler au pied la Constitution et les principes les plus fondamentaux de la République. Notre conscience nous interdit de nous taire et de laisser faire ce qui conduit à mettre en péril la paix civile.

Nous appelons à une manifestation le samedi 4 septembre 2010, place de la République à Paris, à 14h00, et partout en France, afin de fêter le 140e anniversaire d’une République que nous voulons plus que jamais, libre, égale et fraternelle

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 23:46

fdgRéflexion sur la gauche, son avenir et la crise.

La crise du capitalisme financier éclate sous nos yeux. L’économie basée essentiellement sur la croissance des biens de consommation, va générer son cortège de misères, de chômage et d’exclusion et les peuples subissent sans espoir de voir naitre un autre modèle de société.

La gauche telle qu’elle est aujourd’hui, n’apparaît pas comme une force capable d’apporter une alternative, et semble incapable de s’opposer efficacement à la droite, qui lui emprunte d’ailleurs l’essentiel de son discours et des mesures, sur l’intervention de l’état, la relance et la croissance.

Le modèle social démocrate ne démontre pas non plus, une capacité à transformer ce capitalisme et son système de production, l’exemple d’une cohabitation gouvernementale avec la droite dans nombre de pays d’Europe ne fait que renforcer un peu plus cette incapacité à produire un projet de société alternative.

La gauche ne doit elle pas tourner la page du capitalisme et du libre échange.

En laissant la droite soigner le malade, en y mettant quelques greffes pour l’aider à survivre, la gauche n’a-t-elle pas à saisir cette crise pour refonder son mode de pensée et de projet

Pour la gauche, placer l’homme au centre de la réflexion, doit être le sujet principal. Or, le système économique en vigueur fait de l’homme et de la planète, un accessoire d’ajustement à la contrainte économique. Le grand chantier de la gauche n’est il pas là ! Remettre en cause l’accessoire pour en faire le sujet principal.

Transformer le système et le contenu de la production pour redonner place à l’humain et éviter la catastrophe écologique, devient vital et permettra à la gauche de soutenir un projet alternatif sans doute teinté d’utopie, mais capable par son contenu d’entrainer une volonté de changement.

Agir pour l’économie équitable de marché

Le terme d’économie de marché doit être remis en cause par la gauche pour soutenir le principe essentiel d’une économie au service de l’épanouissement des besoins humains, intellectuels, sociaux et matériels.

Une économie régulée, pour être équitable.

Par l’application de règles sociales, environnementales, sanitaires et fiscales permettant une « économie de marché équitable, ouverte et concurrentielle ».

Retrouver l’internationalisme valeur essentielle d’un projet de gauche.

Ce projet de gauche serait pure utopie à l’époque de la mondialisation s’il devait être porté par la seule gauche française. La nécessité d’entrainer la gauche européenne dans ce sens apparaît comme une évidence et une condition pour redonner à la gauche en général sa dimension internationaliste et humaniste.

La gauche doit aussi porter l’exigence d’une régulation mondiale aux travers d’institutions indiscutable, reconnues par tous. (Finance, le commerce, la sécurité, l’environnement).

Retrouver de l’audace, de la conviction pour mener la bataille des idées.

La gauche existera en mettant fin à sa résignation, en bousculant les conformismes, les sectarismes et les opportunismes de comportement à géométrie variable, sous prétexte de pragmatisme ou électoralisme.

La Gauche avec front  de gauche, est notre espoir pour changer vraiment, alors je vous invite à le  rejoindre, en adhérent au Parti de Gauche ou à une autre composante des organisations qui soutiennent la démarche du front de Gauche..

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 19:34

Face à la xénophobie et à la politique du pilori : liberté, égalité fraternité Samedi, 07 Août 2010 13:11 Le Parti de Gauche soutient l'Appel citoyen « Face à la xénophobie et à la politique du pilori : liberté, égalité fraternité ». Une manifestation aura lieu à Paris le 4 septembre 2010, place de la République à 14h00, et partout en France. L'appelest ouvert à la signature sur le site http://nonalapolitiquedupilori.org/ Les plus hautes autorités de l'Etat ont fait le choix de jeter à la vindicte publique des catégories entières de population : Gens du voyage accusés comme les étrangers d'être des fauteurs de troubles, Français d'origine étrangère sur lesquels pèserait la menace d'être déchus de leur nationalité, parents d'enfants délinquants, etc. Voici que le président de la République accrédite aussi les vieux mensonges d'une immigration coûteuse et assimilée à la délinquance, et offre ainsi à la stigmatisation des millions de personnes en raison de leur origine ou de leur situation sociale. Ce qui est à l'œuvre dans cette démarche ne s'inscrit pas dans le débat légitime, dans une démocratie, sur la manière d'assurer la sûreté républicaine. Le nécessaire respect de l'ordre public n'a pas à être utilisé pour créer des distinctions entre les habitants de ce pays et désigner des boucs émissaires. Ni pour instituer des peines de prison automatiques, contraires aux principes fondamentaux du droit pénal, à l'indépendance de la justice et à l'individualisation des peines. La Constitution de la France, République laïque, démocratique et sociale, assure « l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion ». Nul, pas plus les élus de la nation que quiconque, n'a le droit de fouler au pied la Constitution et les principes les plus fondamentaux de la République. Notre conscience nous interdit de nous taire et de laisser faire ce qui conduit à mettre en péril la paix civile. Nous appelons à une manifestation le samedi 4 septembre 2010, place de la République à Paris, à 14h00, et partout en France, afin de fêter le 140e anniversaire d'une République que nous voulons plus que jamais, libre, égale et fraternelle.

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 12:57
Parti de la gauche européenne 

C'est fait. L'exécutif du Parti de la Gauche Européenne (PGE), dont la réunion s'est tenue à Barcelone les 25, 26 et 27 juin, a accepté à l'unanimité et sous les acclamations la demande d'intégration du Parti de Gauche en tant que membre du PGE. Cet accord a semblé d'autant plus naturel que notre démarche avait été soutenue par notre camarade communiste, Jean François Gau, présent à la réunion.

Le PG a donc maintenant la possibilité de participer à l'activité et aux discussions du PGE qui regroupe la plus grande partie de l'Autre gauche en Europe. Il convient de préciser que les partis des pays de l'Europe de l'Ouest sont représentés au PGE, ainsi que ceux des pays de l'Europe centrale et Orientale tels que la Pologne, la République Tchèque, la Hongrie, la Moldavie et les Pays Baltes.

Les deux représentants du PG, Raquel Garrido et Lars Steinau, ont pu apprécier la richesse des débats portant sur la crise en Europe, avec des contributions importantes notamment de nos camarades grecs, portugais et espagnols. En plus de l'actualité politique en Pologne, en Moldavie, en Roumanie, en République Tchèque, ou en Hongrie, les discussions ont porté sur le bilan des dernières élections en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et en France. Une partie importante de la réunion a été consacrée au renforcement de la solidarité du PGE avec le peuple palestinien, pour la levée immédiate du blocus de la bande de Gaza.

Invitée à s'exprimer pour formaliser l'adhésion du Parti de Gauche, Raquel Garrido est revenue sur l'historique du PG, de sa fondation sur les bases d'un diagnostic de la situation de la gauche en Amérique Latine et en Europe, de l'élan propulsif qu'il a trouvé dans la création de Die Linke et dans le travail avec les autres partis du PGE qui, comme lui, ont constaté le double échec de la social-démocratie et du communisme d'état. Avec l'avec l'entrée du PG au sein du PGE, c'est en effet l'éventail des histoires politiques qui y est représenté qui s'agrandit, ce qui satisfait pleinement les fondateurs du PGE. Le PG, qui s'efforce de réaliser la synthèse entre l'écologie politique et le socialisme, compte sur le PGE pour être également un lieu de synthèses et de création d'un vocabulaire commun, notamment face à la dérive autoritaire des institutions européennes qui appelle un profond renouveau démocratique.

L'exécutif du PGE a notamment décidé de soutenir activement la journée d'action et de grève appelée par la Confédération européenne des syndicats du 29 septembre prochain sur la base d'une analyse largement partagée : « Nous combattons sans cesse, dans chacun de nos pays et au plan européen : le dumping social et fiscal, la mise en concurrence sauvage des travailleurs et des peuples de l'Est et de l'Ouest, les privatisations, les délocalisations, les démantèlements de la protection sociale et des services publics, la précarisation de l'emploi et le chômage massif, les plans d'austérité. Ces politiques ont conduit tout à la fois à gonfler de façon fabuleuse les profits capitalistes et spéculatifs et à déprimer les économies, à faire exploser les déficits et les dettes publiques et à provoquer la crise actuelle. »

L'intégration du PG au PGE se fait à un moment clef pour l'avenir de l'autre gauche européenne. La crise sociale et économique augmente la pression sur les classes populaires et ouvre la porte à des forces d'extrême droite qui cherchent à surfer sur le désarroi croissant des populations comme on peut le constater dans plusieurs pays de l'Europe de l'Est. Mais les mobilisations massives des salariés en Grèce, en Espagne, au Portugal et en France montrent qu'une autre voie reste toujours possible. C'est dans ce contexte particulier que le Parti de la Gauche Européenne tiendra son prochain congrès les 3, 4 et 5 décembre à Paris. Le Parti de Gauche s'y investira pleinement et apportera sa contribution au succès de ce événement politique majeur. Dès à présent, les militants du PG sont invités à participer à l'université d'été du PGE qui se tiendra à la mi-juillet en Moldavie.

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18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 10:39
                            
Retraite et actualités Jean Luc Mélenchon s'exprime sans complaisance, en vidéo ..... Le vaudeville indigne qui a fini la saison me révulse. Les loufiats qui écoutent aux portes, les « femmes de… » qui créent des écuries et des sociétés de pari en ligne, des magistrats obstructeurs, des guerres privées dans les prétoires, et de l’argent, encore de l’argent, de tous les côtés de l’argent ! Et pour après ça? L’APL des étudiants supprimée, les pensions de handicapés rognées. Non, c’est trop ! a suivre
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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 23:51
  
Martine Billard

M. le président. Dans les explications de vote, la parole est à Mme Martine Billard.

Mme Martine Billard. Exigeant, équitable, soutenable, dit votre document budgétaire. Le déficit budgétaire et le poids de la dette sont indéniables, mais nous avons un désaccord sur les causes de la dégradation de ces deux paramètres. Certes, la crise est responsable pour un tiers, mais un tiers seulement.

Quelle est l'origine de la crise financière ?

Les organismes financiers, dont les banques, ont spéculé. Leurs avoirs pourris ont été garantis par les États - en France spécifiquement - sans contreparties. La dette privée est devenue une dette publique et, dans le même temps, le Gouvernement français a conduit une politique constante et obstinée de baisse des recettes par l'empilement des dispositifs d'exonérations fiscales et sociales, responsables pour deux tiers de la dette.

Face à cette situation, que proposez-vous ? La sauvegarde à tout prix des privilèges de vos amis du Fouquet's et du Bristol.(Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Vous voulez donc limiter les dispositifs dits de guichet.

Vous les avez finalement pris par masse budgétaire : AAH, rabotée ; APL, rabotée ; intéressement dans le cadre de l'ASS, rabotée ; missions locales et maisons de l'emploi, moins financées ; places d'hébergement en CHRS, non augmentées ; 11 % des équivalents temps plein de l'État supprimés ; gel du point d'indice des fonctionnaires.

Finalement, qu'est-ce qui est concerné par vos mesures ? L'emploi et les publics les plus en difficulté. Qui ne l'est pas ? Les entreprises - cela a été souligné par quelqu'un qui ne siège pas vraiment sur les bancs de l'opposition - et les contribuables les plus riches, notamment à cause du fait que les niches fiscales sont très peu touchées.

Votre budget n'est donc ni juste, ni soutenable, ni exigeant. Nous refusons la mise sous tutelle du budget national par la Commission européenne...

M. André Chassaigne. Très bien !

Mme Martine Billard. ...tout comme nous refusons que le débat budgétaire ait le monopole des mesures fiscales, car cela revient tout bonnement à priver une fois de plus le Parlement de débats globaux sur les projets ou sur les propositions de loi.

Nous allons d'ailleurs le voir à l'occasion du débat sur les retraites, qui sera coupé en trois morceaux : un morceau en septembre dans le projet de loi proprement dit ; un deuxième morceau dans le projet de loi de finances ; un dernier morceau dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale, avec des mesures fiscales et sociales. Ainsi, il n'y aura plus de débat général.

Les députés du Parti communiste et du Parti de gauche voteront donc contre votre proposition d'orientation budgétaire pour les trois années à venir. (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.)

Retrouvez l'ensemble des interventions sur le site de l'Assemblée Nationale.

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 00:03
Nicolas Sarkozy

Si ce quinquennat était une pièce de théâtre, mi-grotesque mi-tragique, l'affaire Bettencourt serait son acte II. Acte I ? Le Fouquet's. L'Acte III sera-t-il de goudron et de plumes ? On peut l'imaginer tant cette affaire frappe le pouvoir en plein cœur. Pas seulement par les accusations de financement illégal contre le président de la République. Mais aussi parce qu'elle tourne en débâcle la bataille culturelle centrale du sarkozysme.

Sarkozy s'était en effet juré dès son élection fêtée au Fouquet's de réhabiliter les riches. Je les aime et je veux les faire aimer aux Français disait-il.

En vrai, ce n'était pas une histoire d'amour mais d'argent. Il lui fallait rendre acceptable le bouclier fiscal ou le double salaire de Proglio. A droite, il a vite gagné la partie. De nouveaux chefs ont été promus, qui ne sortent plus de l'ENA mais des cabinets des avocats d'affaires. Restait le plus dur : convaincre le peuple.

Or la France n'est pas les Etats-Unis que Sarkozy tient pour modèle. Là-bas il est bien vu qu'un président fréquente des milliardaires et choisisse ses ministres dans les milieux financiers ou industriels dominants. L'argent qu'a touché Obama de Wall Street à la veille de la crise des subprimes n'a pas choqué.

Mais la France est le pays de l'abrogation des privilèges. La richesse n'y est pas vue comme illégitime sauf si elle rompt l'égalité des citoyens. Ajoutez à ce vieux fond la crise qui montre que des actionnaires irresponsables parviennent à fixer la politique des gouvernements et à faire payer le peuple à travers eux. Les relations étroites entretenues entre le pouvoir et l'argent, spectaculairement revendiquées dès 2007 au Fouquet's ou sur le yacht Bolloré, sont donc devenues intolérables.

Dès lors la rentrée politique du gouvernement est menacée. Quelle sera la crédibilité de Woerth lorsqu'il chantera les soi disant efforts partagés de la réforme des retraites ? Et de Sarkozy quand il défendra son plan d'austérité qui taille dans les dépenses publiques sans jamais solliciter la richesse privée ?

Or ils se sont mis eux-mêmes dans une seringue en alimentant l'inquiétude sur les déficits et en déclarant que les agences de notation étaient les meilleurs juges de la politique des Nations. Les échéances de refinancement de la dette ne seront pas repoussées ! Les riches sont des maîtres cruels pour ceux qui acceptent de les servir.

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 01:18
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