A l’occasion de sa participation à une rencontre nationale sur les salaires, nous avons interviewé Gabriele Sterkel du syndicat Verdi. voir video
A l’occasion de sa participation à une rencontre nationale sur les salaires, nous avons interviewé Gabriele Sterkel du syndicat Verdi. voir video
Le rassemblement du 18 mars est le premier d'une "révolution citoyenne en cours." Les références qui parcourent le discours de Jean Luc Mélenchon ce Dimanche 18 Mars sont là pour donner une réalité historique aux choses présentes : la Commune de Paris et Jules Vallès ("Nous sommes le cri du peuple", "Vive la sociale", "Place au peuple, sont des emprunts à J.Vallès). Louise Michel, J. Jaurès, le poète espagnol Machado et l'oeillet rouge accroché au revers de sa veste, rappelant la révolution portugaise des Œillets. Connaitre le passé, regarder dans le rétroviseur, est utile pour construire l’avenir. de la nouvelle révolution citoyenne. Les urnes, d'abord, en avril et mai prochains, puis la fondation d'une assemblée constituante en charge d'installer l'égalité, par quoi tout commence.
Des "droits nouveaux" qui donneront corps à l'égalité et à la liberté : droits des travailleurs, par exemple "droit de préemption sur la propriété du capital", "propriété collective humaine des biens de base comme l'eau et l'énergie", droits fondamentaux de la personne - avortement, soutien de la décision de chacun en fin de vie -, abrogation de la loi Hadopi ("la liberté de la Toile est inaliénable"), interdiction que le vivant soit breveté, garantie d'une liberté de la justice "sous la protection du Parlement", un "droit du sol intégral", "extinction de la dette écologique", instauration d'une "règle verte", extension de la laïcité à toutes les terres françaises... les objectifs brillent comme des phares.
Le discours de Jean-Luc Mélenchon était délibérément idéologique. Aucune réponse, aucune pique lancée aux autres candidats à l'élection présidentielle à venir. Nul ne maîtrise le calendrier de l'histoire.
Questions, que nous dit Sarkozy et que n'a pas fait le président!
La preuve, sur la délinquance il veut s’attaquer au vrai caïd, comme l’a déjà dit JL Mélenchon, ah oui, mais il réduit les effectifs de police, de la justice et oubli de parler de l’argents sales et des paradis fiscaux qui servent à blanchir des sommes énormes qui proviennent d’actes délictuels.
Sur les hauts revenus et l’exil fiscal, il propose de taxer en impôt comme l’a dit JL Mélenchon les exilés fiscaux pour leur faire payer les impôts en France, si ceux qu’ils paient à l’étranger est plus faible que chez nous, très bien le Front de Gauche a raison.
Il propose l’application de cette règle qui est déjà possible. Alors pourquoi Sarkozy ne l’a pas mis en œuvre depuis 5 ans ? Et puis que rapportera cette mesure si le barème de l’impôt pour les hauts revenus reste le même, avec un taux marginal à 41%. Sarkozy donne raison au front de gauche, mais avec nous cela va apporter de la justice fiscale avec un nouveau barème d’impôt de 14 tranches et un taux marginal à 100% au-delà de 30000 euros par mois.
Sur l’Europe économique Sarkozy, rejoint les positions de Front de Gauche, plus de protection sur l’entrée des produits qui mettent en concurrence notre industrie, renforcement de l’achat français pour les collectivités publiques, résistances aux règles européennes par la France si les autres pays n’acceptent pas. Ont pourrait confondre son discours avec celui de JL Mélenchon, sauf qu’il ne là pas fait depuis 5 ans et pire il a bafoué la démocratie sur la traité de Lisbonne et récemment avec le nouveau traité signé il y a quelques jours sans consultation du peuple et qui va réduire fortement notre indépendance.
Alors puisqu’il ment, comme toujours depuis 2007, qu’il donne raison aux mesures annoncées par JL Mélenchon depuis des mois, alors le 22 avril, sortons le menteur et ouvrons la voie au vrai changement proposé par le Front de gauche. Votons le 22 avril pour
Jean Luc Mélenchon.
Pendant que les salariés en Europe manifestent contre l'austérité, les députés et sénateurs du PS, ne s'opposent pas à un traité qui va organiser l'austérités partout et notamment en France.
La France était le seul des quatre pays (Allemagne, Espagne, France, Italie) disposant du droit de veto sur la mise en place du Mécanisme européen de stabilité (MES) a disposer d’une majorité de gauche dans l’une de ses assemblées. Après sa capitulation à l’Assemblée nationale le 21 février 2012, le PS pouvait encore aujourd’hui prendre la mesure de la situation et bloquer, au Sénat, la ratification du traité instituant un mécanisme qui institutionnalise la Troïka (Commission européenne, BCE, FMI) et ses plans d’austérité cruels, ainsi que le directoire franco-allemand qui dans la majeure partie des cas décidera seul d’avaliser ou non ces plans d’austérité. Par ce vote, le PS pouvait infliger une sérieuse défaite à Nicolas Sarkozy et à la droite. Au lieu de cela, il a fait, une fois de plus, le choix du pire. En s’abstenant, la majorité des sénateurs du PS a choisi d’avaliser le mécanisme corolaire du « pacte budgétaire ». Ce traité Sarkozy-Merkel, le PS dit vouloir le « renégocier » mais refuse que le peuple soit consulté par référendum.
Seuls 3 sénateurs socialistes ont fait aujourd’hui un vote de gauche : Jean-Pierre Godefroy, Marie-Noëlle Lienemann et Daniel Percheron. Nous les saluons ainsi que les 8 sénateurs d’EELV qui ont voté contre le projet de loi de ratification. Nous dénonçons haut et fort le choix fait par le PS et réaffirmons que Jean-Luc Mélenchon et le Front de gauche s’engagent fermement pour un référendum sur la ratification de ce traité.
Tous ceux qui veulent dégager la troïka, qui s’opposent à une Europe austéritaire et qui veulent construire une Europe basée sur l’égalité, la démocratie, le respect et la solidarité entre les peuples, tous ceux-là n’ont qu’un seul vote pour défendre leurs idées et leur futur : le vote Front de Gauche et le bulletin « Jean-Luc Mélenchon » le 22 avril. D’ici là rendez-vous, à la Bastille le 18 mars.
Dominique Sentis, travaille depuis 31 ans à la raffinerie de Petit Couronne, il est aussi écrivain. Alors, il livre dans la lettre qui suit son sentiment après le passage du grand Magic Circus dit il, de vendredi dernier.
Lettre d’encouragement aux sceptiques professionnels et autres pessimistes chroniques
Vendredi après-midi, la grande parade a clôturé en apothéose notre joyeux carnaval par la venue de l’illustre présicandidendat. Tout ceci pour nous signifier de vive voix que le feu est passé au vert et que désormais la balle est dans notre camp. Puis le grand Magic Circus a remballé son barnum ; les journalistes et les policiers ont replié leur matériel, nous laissant enfin entre nous dans l’intimité de notre raffinerie…
Y a plus qu’à !
Certes, la tâche qui nous attend de pied ferme est considérable.
Tout d’abord de gros travaux. Ils sont obligatoires pour avoir l’autorisation de redémarrer même si ce n’est pas marrant. C’est du lourd et c’est chaud !
Puis ensuite refaire bouillir les marmites sans casser ce qui vient d’être réparé. Redémarrer sans joker ni seconde chance…c’est show !
Et j’en vois et entends qui déjà depuis un bon moment ; soupirent, ronchonnent, baissent les bras puis la tête…
NON !
Au contraire ! Haut les cœurs !
C’est à ces gens-là que je veux m’adresser en priorité, qu’ils soient obscurs opérateurs ou membres éminents du Codiraf !
On n’a pas le droit de douter ! Et on a besoin vital de tout le monde sur le pont, du simple troufion de quart au généralissime de la normale !
Ce qui nous est demandé maintenant, ce n’est pas l’impossible, c’est juste de faire notre boulot ! En mettant seulement encore un peu plus de cœur et d’application à l’ouvrage…Mais finalement rien qu’on ne sache pas faire ! Rien qu’on n’ait déjà fait par le passé !
Les travaux ?
La belle affaire ! Ce n’est jamais qu’un grand arrêt de plus ! Nous sommes là en territoire connu ! C’est juste une question de logistique et d‘organisation, et pour se faire nous avons reçu à la tête de l’usine un renfort de grande qualité.
Redémarrer les unités ?
C’est délicat, difficile, sûrement compliqué après tout ce temps arrêté…mais durant ces simples dernières années, combien de fois l’avons-nous fait et réussi ?
Alors, même pas peur !
Oh ! j’en entends certains de là ou j’écris qui ruminent : mais il est qui lui, pour venir nous faire la morale et nous servir la messe !
Pas grand-chose de plus que vous c’est certain. Une modeste et anonyme fourmi dans cette boutique depuis 31 ans. Troisième génération au service de notre grand-mère de 83 balais et quelques rudes batailles déjà menées pour la défendre contre les rapaces de toute plume et les fossoyeurs de tout poil…Alors forcément on s’attache ! C’est humain.
C’est pourquoi je rejoins mon ami Yvon le magnifique quand il clame haut et fort que cette raffinerie, elle est à nous !
Même si au niveau paperasse c’est contestable, au niveau du cœur il n’y a pas photo !
Alors à ceux que la charge de travail face à nous effraie…
Je leur rappellerai simplement ce que nous étions et ou nous étions au matin du 28 décembre 2011…Rien ! Et nulle part !
Nous n’avions plus de boulot, plus de rôle à jouer, et plus d’outil à faire fonctionner…nous n’étions même pas de la merde car elle, a une utilité sur cette terre (il suffit de marcher dedans pour s’en convaincre).
Devant nous à chaque pas, c’était le vide. Le néant.
Aujourd’hui, on nous donne les moyens de prouver que notre lutte était juste et notre combat justifié !
Aussi, ne serait-ce que pour renvoyer l’ascenseur à la formidable Intersyndicale qui a tout emmené sur son passage, qui s’est démultipliée, s’est battu sans jamais rien lâcher, qui a su se sublimer pour nous sauver tous alors que certains ne pensaient qu’à se sauver…Oui ! Nous avons le devoir moral de nous montrer à la hauteur de leur engagement et de leur détermination sans faille ! Ils nous ont ouvert la voie, à nous de nous y engouffrer.
C’est à notre tour de jouer !
Car dites-vous bien mes amis, que désormais on nous regarde. On nous observe avec attention. Souvent avec bienveillance, parfois avec défiance, d’autre fois avec hostilité à peine masquée.
Que ce soit nos amis et alliés que nous ne pouvons décevoir parce qu’ils croient en nous, que notre aventure est exemplaire et pourrait en cas de succès faire jurisprudence dans le monde du travail.
Comme nos ennemis tapis dans l’ombre et silencieux, du côté de l’UFIP par exemple, qui n’attendent que notre échec cuisant pour s’en délecter car notre réussite leur fout les jetons pour les mêmes raisons citées ci-dessus !
Prouvons à nos amis qu’ils ont eu raison de nous soutenir et ne faisons le cadeau de notre défaite à nos adversaires !
On ne s’est pas battu aussi longtemps et si dur pour se décourager maintenant ! Alors faisons le métier comme nous l’avons appris ! Soyons fier de nous tous et de chacun ! Car tout le monde est important et chacun a un rôle prépondérant à jouer !
Ce qui nous attend est exaltant ! Car à notre manière et involontairement nous sommes précurseurs. Depuis le début nous écrivons l’histoire. Une histoire qui fera date et exemple dans le futur, qui nous dépasse et surpasse de beaucoup la simple enceinte de notre usine, alors sachons lui donner une issue heureuse afin qu’elle ne nourrisse pas plus tard d’amers regrets. Que l’on puisse dire : j’y étais !
C’est un défi humain à relever : nous unir pour ne former plus qu’un et être le plus efficace possible en faisant fi de nos différences. Utilisons notre diversité pour la transformer en complémentarité !
C’est un défi industriel à réaliser : mais c’est notre métier, ce pour quoi nous avons été embauchés. Sauf que cette fois, il nous faut l’exécuter en pleine lumière médiatique sous les projecteurs de l’actualité que nous nourrissons semaine après semaine.
Alors ?
Toujours peur ?
Mais moi aussi, j’ai le trac et un certain vertige !
Toutefois si on a le droit d’être gagné par la peur on n’a pas le droit de la laisser nous vaincre !
Qu’importe le stress et l’angoisse ! Il faut s’en servir pour se surmotiver et non se laisser paralyser ! La peur doit sublimer, sinon elle détruit.
Soyons fier de ce que nous avons déjà réussi et ou nous sommes arrivés aujourd’hui. Rappelons-nous que l’on pourrait fort bien déjà parler de notre raffinerie au passé. Qu’elle serait fermée. Et nous dehors.
Mais faisons surtout preuve d’orgueil plein placé pour parvenir au but que nous nous sommes implicitement fixés : entendre de nouveau les machines rugir de plaisir !
Pour finir je citerai le courageux Henri de Turenne qui disait en pleine bataille alors que la mitraille sifflait de toute part autour de lui : « tu trembles carcasse ? Si tu savais ou je t’emmène, tu tremblerais bien plus encore ! »
Et il y allait.
Alors…On y va ?
D Sentis
Le « Mécanisme européen de stabilité ». L’enjeu qui s’y rapportent sont couverts par une lourde et significative indifférence médiatique, en dehors de « Libération » et du « Monde ».
Rien à signaler. Mardi 21 février, les députés devaient se prononcer sur l’instauration du « Mécanisme européen de stabilité ». Dans cette affaire rien n’est simple. Même le processus de ratification est complexe puisque les députés étaient amenés à se prononcer sur deux projets de loi :
1) Le premier projet de loi autorise la ratification de la décision du Conseil européen modifiant un article du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne afin de permettre la mise en place d’un « Mécanisme européen de stabilité ».
2) Le deuxième projet de loi autorise la ratification du traité instituant le « Mécanisme européen de stabilité ».
En résumé, les députés devaient d’abord voter sur le principe d’un « Mécanisme européen de stabilité » puis sur le projet en tant que tel du MES.
Les députés du Front de Gauche ont donc voté contre à deux reprises. Les députés du Front de Gauche ont fait bloc face à « un projet qui saigne les Etats européens » et ont voté « NON » au MES. Les 3 députés d’Europe-Ecologie-Les-Verts ont également voté contre le MES.
Malheureusement les socialistes ont eu besoin pour se mettre d’accord entre eux de diviser toute la gauche et ont choisi de s’abstenir. Seuls 16 députés socialistes ont eu le courage de ne pas respecter la consigne et ont également voté contre. Leur vote est la preuve que contrairement à ce que dit la direction socialiste, le vote lamentable qu’elle a choisi ne va pas de soi, qu’il est critiquable.
A la demande des députés du Front de Gauche, le scrutin était public pour que chaque citoyen ait le droit de connaître le vote de nos députés (lien : http://www.assemblee-nationale.fr/13/scrutins/jo0861.asp). La droite étant majoritaire, l’Assemblée Nationale a donc adopté mardi le MES.
Le texte doit encore passer au Sénat où la gauche est majoritaire. Les sénateurs du Front de Gauche continuent le combat. Ils seront présents mardi prochain pour voter contre le MES. Ce n’est pas tout. Nicole Borvo, la présidente du groupe Front de Gauche, a également interpellé l’ensemble des sénateurs de gauche afin de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel. En effet, pour les traités précédents (Traité d’Amsterdam, TCE, Traité de Lisbonne) le Président de la République avait saisi le Conseil constitutionnel en amont de la ratification. C’est une figure imposée par l’usage car il est évident que chaque nouveau traité modifie le périmètre de la souveraineté nationale en en déléguant une part au niveau européen. Or la Constitution ne permet pas ce genre de transfert sans que cela soit expressément délimité et affirmé en congrès du parlement.
Cette fois-ci Nicolas Sarkozy n’a pas osé prendre le risque d’un rejet par le Conseil constitutionnel. En effet, pour bénéficier du MES, les Etats devront se soumettre à la tutelle budgétaire de Bruxelles. Or, l’article 14 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, préambule de notre Constitution, établit la souveraineté du peuple en matière de politique budgétaire. Le MES et le traité Merkel-Sarkozy ne respecte donc pas notre Constitution. Il faut maintenant réussir à réunir les 60 sénateurs ou députés pour pouvoir déposer ce recours devant le Conseil constitutionnel.
Il est décisif que le peuple reprenne le pouvoir et interpelle les parlementaires. Il faut éviter que cet épisode sombre dans le néant de l’indifférence et de l’oubli auquel aspirent ceux qui organisent cette manœuvre. Je vous invite à regarder cette vidéo qui vous explique de quoi il s’agit exactement : http://www.youtube.com/watch?v=rFTbIGahzhU&feature=colike
Le MES est le nouveau dictateur européen. Quand il veut, et aussi souvent qu'il veut, il peut simplement exiger des pays de la zone euro de payer des milliards d'euros sous 7 jours!!!
Mais, cette visite au coût financier extraordinaire, compte tenu des moyens mis en place, avait-elle un intérêt ? Eh bien non ! rien de nouveau n’a été annoncé, le président est juste venu confirmer ce que les syndicats avaient annoncé à l’assemblée générale de jeudi 23 à midi et que j’ai écrit dans ce blog hier.
A savoir, que le contrat pour six mois d’un travail à façon avec Shell, avait été signé (la grande nouvelle !) hier au soir. Un simple coup de téléphone aurait coûté beaucoup moins cher.
Mais personne n’est dupe, cette visite du chef de l’état est plus une visite du candidat Sarkozy sur fonds publics avec un objectif de récupérer à son profit les acquits de la lutte des salariés.
La pièce à deux faces » Président-Sarkocandidat », ne trompera personne, aucune annonce sur un repreneur éventuel, aucun mot sur la nécessité de garantir notre indépendance énergétique, aucun mot sur la nécessité de mettre des visas aux portes de l’Europe, voir du pays, pour éviter une concurrence déloyale sur l’importation de produits pétroliers ne respectant pas les mêmes normes de production qu’en France.
Plus que jamais, les salariés de la raffinerie doivent maintenir la pression, l’avenir du site repose sur leur combativité et sur la nécessité que demain, le prochain Président de la république, fasse de l’Independence énergétique de notre pays une priorité. Chacun aura pu entendre lors du passage des différents candidats à la présidentielle, celui qui propose clairement la bonne direction.
Avec cette visite, les grands médias, nous expliquent que les deux favoris de la présidentielle, jouent la proximité avec le monde de l’industrie et des travailleurs. Hollande à Arcelor, Sarkozy à Petroplus, mais l’un et l’autre soutient ou s’abstient sur le nouveau traité européen qui conforte la politique ultralibérale et l’austérité en Europe. Il ne faudra pas l’oublier le 22 avril prochain au premier tour de l’élection présidentielle.
Pour en savoir plus sur le traité, je vous conseille cette video si dessous:
http://www.youtube.com/watch?v=rFTbIGahzhU&feature=colike
Le MES est le nouveau dictateur européen. Quand il veut, et aussi souvent qu'il veut, il peut simplement exiger des pays de la zone euro de payer des milliards d'euros sous 7 jours!!! Il peut ruiner un gouvernement en moins d'une semaine!!!